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Articles

Affichage des articles du février, 2015

THE ECONOMIC IMPACT OF EBOLA.

For nearly a year, sub-Saharan Africa faces an unparalleled spread of Ebola virus. According to recent WHO figures, haemorrhagic fever have cost the lives of nearly 8,500 people. According to calculations of the World Bank (WB), the combined GDP of Liberia, Guinea and Sierra Leone could be cut by $ 359 million in 2014 and $ 809 million in 2015 if the epidemic is not contained. Economic growth then would drop this year by 11.7 percentage points in Liberia and Sierra Leone 8.9 points at the risk of plunging the two poorest countries in recession. One of the key factors in the decline in growth in countries affected by Ebola is the fear of contagion .This last, causes an almost standstill if not, the stoppage of trade between the areas affected by the virus and their sub-regional and international partners. Thus, Senegal has banned the import of all fruit and vegetables from Guinea Conakry exporting the major part of their crops to the latter for cost-effectiveness issues. Th

L'IMPACT ECONOMIQUE D'EBOLA.

Depuis  près  d’un an, l’Afrique subsaharienne fait face  à une propagation sans pareille du virus ébola. Selon des récents chiffres de l’OMS, la fièvre hémorragique aurait coûté la vie  à près  de 8.500 personnes.  D’après des calculs de la banque mondiale(BM), le produit intérieur brut  cumulé  du Libéria, de Guinée Conakry et de la Sierra Leone pourrait être amputé  de 359 millions de dollars en 2014 et de 809 millions de dollars en 2015 si l’épidémie n’est pas contenue. La croissance économique chuterait  alors cette année de 11,7 points de pourcentage au Libéria et de 8,9 points en Sierra Leone au risque de faire plonger ces deux pays pauvres en récession. Selon des récents chiffres de l’OMS, la fièvre hémorragique aurait coûté la vie  à près  de 8.500 personnes. L’un des facteurs clés de la baisse de la croissance dans les pays touchés par l’ébola est la peur du risque de contagion .Cette dernière,  entraine  un quasi arrêt si non, l’arrêt total des échanges 

AFRICA AND TERRORISM.

'' How do we, as democratic societies that respect human rights, assure our collective protection and fight effectively against this form of intolerable violence? " -Boubacar Gaoussou Diarra Director of the African Centre Studies and Research terrorism For a little over a decade, the African continent is experiencing a resurgence of terrorist activities in its territories such as Mali, Nigeria, Cameroon, Algeria, Somalia, Kenya, Uganda ... Due to the constant rise of inequality in Africa and the inability of our governments to face it, terrorist groups like: AQIM and Boko Haram MUJAO continue to commit atrocities in the regions they control in the name of self bidder claim political, economic or social. With the fall of the Gaddafi regime these horrors cycles have seen increased and catchy almost destabilization of Mali. And at the same time, the proliferation of merchant of all kinds (weapons, drugs, cigarettes, taking hostage ...) in the Sahara, wh

LE TERRORISME EN AFRIQUE.

’’Comment devons-nous, en tant que sociétés démocratiques et respectueuses des droits de l’homme, assurer notre protection collective et combattre avec efficacité cette forme de violence intolérable ?’’ -Boubacar Gaoussou Diarra Directeur du centre africain d’études et de recherche sur le terrorisme Depuis un peu plus d’une décennie, le continent africain connait une recrudescence des activités terroristes sur ses territoires tels que : Mali, Nigéria, Cameroun, Algérie, Somalie, Kenya, Ouganda… Du fait de la constante montée en puissance des inégalités en Afrique et de l’incapacité de nos gouvernements respectifs à y faire face, les groupes terroristes à l’instar de :AQMI,MUJAO et Boko Haram ne cessent de perpétrer des atrocités  dans les régions qu’ils contrôlent au nom de soi disante revendication politique, économique ou sociale. Avec le chute du régime Kadhafi ces cycles d’horreurs se sont vues multipliés et entraînants la quasi déstabilisation du Mali. Et par la