Depuis quelques années, nous observons une recrudescence des sites de e-commerce en Afrique subsaharienne. Ces plateformes de commerce en ligne se veulent, des intermédiaires entre les producteurs de bien en tout genre et les potentiels acheteurs.
Serait-il possible dans un environnement tel que le notre, de proposer aux consommateurs d'acheter des biens en lignes? Sachant que , ces derniers ont pour habitude de pratiquer de longues négociations avec les vendeurs auxquels ils ont à faire.
Pour la majeur partie des Africains, le rapport humain est quelque chose de fondamental dans la pratique des affaires. Pour eux, il est hors de question d'acquérir un bien sans en rencontrer l'offreur. La rencontre entre l'offreur du bien et le potentiel acheteur, est un moment couronné par de longues discussions au cours desquelles, chaque protagoniste essaie de tirer avantage de la situation.
D'autre part, l'achat de bien en ligne nécessite un certain niveau d'éducation et un accès régulier à internet. Hors, les TIC n'ont pas encore connu un véritable essor en Afrique subsaharienne. Sauf, dans les régions ou une certaine frange de la population appelée ''classe moyenne'' commence à voir le jour et à s'accoutumer d'internet et de tout ce qui va avec.
Nous ne manquerons pas de noter que, les biens proposés aux consommateurs via les sites de e- commerce ne sont pas toujours d'une qualité sans reproche. Très souvent, les acheteurs sont déçus par le bien qu'ils reçoivent chez eux. Ce dernier n'est pas toujours identique à celui qu'ils ont vu en ligne. Ce qui peut s'avérer être un frein majeur pour le commerce en ligne, dans un environnement ou les clients ont pour habitude de voir et de tester la marchandise avant l'achat.
Au vue de tout ce qui a été précité, il apparaît clairement que le commerce basique comme le pratique les Africains depuis des millénaires a encore de beaux jours devant lui. Même si le commerce via internet enregistre une nette progression chez une certaine catégorie de la population Africaine.
-Frédéric Betta-Akwa
Serait-il possible dans un environnement tel que le notre, de proposer aux consommateurs d'acheter des biens en lignes? Sachant que , ces derniers ont pour habitude de pratiquer de longues négociations avec les vendeurs auxquels ils ont à faire.
Pour la majeur partie des Africains, le rapport humain est quelque chose de fondamental dans la pratique des affaires. Pour eux, il est hors de question d'acquérir un bien sans en rencontrer l'offreur. La rencontre entre l'offreur du bien et le potentiel acheteur, est un moment couronné par de longues discussions au cours desquelles, chaque protagoniste essaie de tirer avantage de la situation.
D'autre part, l'achat de bien en ligne nécessite un certain niveau d'éducation et un accès régulier à internet. Hors, les TIC n'ont pas encore connu un véritable essor en Afrique subsaharienne. Sauf, dans les régions ou une certaine frange de la population appelée ''classe moyenne'' commence à voir le jour et à s'accoutumer d'internet et de tout ce qui va avec.
Nous ne manquerons pas de noter que, les biens proposés aux consommateurs via les sites de e- commerce ne sont pas toujours d'une qualité sans reproche. Très souvent, les acheteurs sont déçus par le bien qu'ils reçoivent chez eux. Ce dernier n'est pas toujours identique à celui qu'ils ont vu en ligne. Ce qui peut s'avérer être un frein majeur pour le commerce en ligne, dans un environnement ou les clients ont pour habitude de voir et de tester la marchandise avant l'achat.
Au vue de tout ce qui a été précité, il apparaît clairement que le commerce basique comme le pratique les Africains depuis des millénaires a encore de beaux jours devant lui. Même si le commerce via internet enregistre une nette progression chez une certaine catégorie de la population Africaine.
-Frédéric Betta-Akwa
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