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Affichage des articles du janvier, 2015

AFRICA AND MICROCREDIT.

The lack of financial services tailored to the needs of the most vulnerable populations, gave birth to microfinance. The latter made his first steps in Bangladesh. Through, the Grameenk Bank founded by Muhammad Yunus. This innovative concept at the time, had the ambition to provide small loans to villagers organized a volunteer group. The major innovation that allowed him to remove the guarantee and develop rapidly is: the principle of joint responsibility. Evolution In Africa, microfinance is growing rapidly. But only 7% of funds raised with 3.6 billion Euros and 5% of borrowers in 2010 according to figures from Mix Market .For the simple reason that it was first developed in Asia and in Latin America. In urban or densely populated rural areas. This form of financing with fixed costs, business volumes have to be high to achieve a balance prior profitability. But, African cities remain smaller than the Latin American metropolises or Asians. As for campaigns, they are not

L'AFRIQUE ET LE MICROCREDIT.

L’absence de service financier adapté  aux besoins  des populations les plus vulnérables, a donné naissance à la microfinance. Cette dernière, fait ses premiers pas au Bangladesh. Au travers, de la Grameenk Bank fondée par Mohamed Yunus. Ce concept à l’époque innovant, avait pour ambition d’octroyer des petits crédits aux villageois organisés en groupement bénévole. L’innovation majeure qui lui a permis de supprimer la garantie et de se développer rapidement est : le principe de la responsabilité conjointe . Evolution En Afrique, la microfinance se développe rapidement. Mais, ne représente que 7% des fonds levés avec 3,6 Milliards d’Euros et 5% des emprunteurs  en 2010 selon les chiffres du Mix Market .Pour la simple raison, qu’elle s’est d’abord développée en Asie et  en Amérique Latine. Dans les zones urbaines ou rurales très densément peuplées. Cette forme de financement ayant des coûts fixes, les volumes d’activité doivent  être élevés pour parvenir à un équilibre

YOUTHS UNEMPLOYMENT IN AFRICA: A TIME BOMB.

Africa is reputed to have the youngest population in the world (40 million young people) and it is expected to double by 2045 according to a report from the ADB, OECD and UNDP.   This segment of the population (15-25 years) could be considered as advantage. But it is a real obstacle to the development of the African continent . For subjected to chronic unemployment. We will note , for example, the fact that sub-Saharan Africa one in two young working (PRB ) and the youth unemployment rate is 11.9% (ILO ) .These young people are mostly graduates schools and training of African universities.   In Cameroon, for example, XAF 150 billion are allocated each year for education. But despite this, the formations are proving inadequate to the needs of SMEs and SMIs.   Moreover , young Africans in general compete for creativity . But often encountered a major problem is access to financing for project leaders ; again according

LE CHOMAGE DES JEUNES EN AFRIQUE:UNE VERITABLE BOMBE A RETARDEMENT.

L'Afrique est réputée pour avoir la population la plus jeune au monde (40 millions de jeunes) et cette dernière devrait doubler d'ici à 2045 selon un rapport de la B.A.D, de l'O.C.D.E et du P.N.U.D. Cette tranche de la population (15-25ans) pourrait être considérer comme atout. Mais elle constitue un véritable obstacle au développement du continent Africain. Car, soumise à un chômage chronique.  Nous noterons par exemple, le fait qu'en Afrique Subsaharienne un jeune  sur deux travaille (P.R.B) et que le taux de chômage des jeunes y est de 11,9%(B.I.T).Ces jeunes, sont la plupart du temps, des diplômés des écoles de formations et des universités Africaines. Au Cameroun par exemple, 150 milliards de FCFA sont alloués chaque année pour l'éducation. Mais malgré cela, les formations s'avèrent inadaptées face aux besoins des P.M.E et des P.M.I. Par ailleurs, les jeunes Africains en général rivalisent de créativité. Mais, sont souvent heurtés à un pro

THE INFORMAL SECTOR IN SUB-SAHARAN AFRICA.

The end of the 70s and early 80s marked a major turning point for the African continent.   The Sub-Saharan Africa at that time faced unparalleled economic crisis. The latter will be placed under the supervision of the IMF and the World Bank who will prescribe a   horse treatment which  is nothing else than structural adjustment plan (reduction of wages, declining enrollment , the privatization of state enterprises ) .All these factors put together will provide an appropriate ground for the development of an industry beyond any criminal laws , social, and fiscal named:  T HE INFORMAL SECTOR .   Already in the colonial era , economic agents are able to evade their output tax CAPITATION said . And denounced by African leaders of the time such as: GRENARD Matsoua Congo Brazzaville.   The informal sector appears as a second chance for people in Sub-Saharan Africa who are overnight subject to unemployment and chronic pover

LE SECTEUR INFORMEL EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE.

La fin de la décennie 70 et le début des années 80 marquent un tournant majeur pour le continent Africain. L'Afrique Subsaharienne à cette époque fait face à une crise économique sans pareil. Cette dernière sera donc placer sous tutelle du F.M.I et de la Banque Mondiale qui vont lui prescrire un traitement de cheval qui n'est-autre que des plans d'ajustements structuraux ( réduction des salaires , baisse des effectifs , privatisations des entreprises d'états ).Tous ces éléments mis bout à bout vont constituer le terreau approprié pour le développement d'un secteur d'activité échappant à toute législation pénale , sociale , et fiscale dénommée : LE SECTEUR INFORMEL. Déjà à l'époque coloniale, les agents économiques arrivaient à soustraire leur production de l'impôt dit de CAPITATION. Et dénoncé  par les leaders Africains de l'époque tels que : GRENARD MATSOUA du Congo Brazzaville. Le secteur informel appairait, comme une seconde chance pou