Accéder au contenu principal

POURQUOI LES ENTREPRISES DOIVENT-ELLES APPRENDRE A ECHOUER POUR INNOVER?

La flexibilité est un élément majeur pour les entreprises afin,  de pouvoir s'adapter à l'évolution du marché. Les entreprises qui ne sont généralement pas assez orientées client finissent par perdre le fil quand à l'évolution des besoins ou des préoccupations de ces derniers.




La notion d'innovation peut s'avérer être quelque chose de complexe pour les entreprises d'une certaine taille. Innover ou encore créer des produits ou services en avancent sur leur temps et compatibles avec les besoins des consommateurs peut s'avérer être une tache assez complexe. Pourquoi cela? Les besoins des consommateurs évoluent sans cesse. Et toute entreprise souhaitant rester au sommet de sa forme financière doit pouvoir anticiper sur les besoins de sa clientèle. Cela nécessite donc,  une certaine prise de risque en termes de recherche et de teste sur le marché. Qui dit innovation dit aussi échec. Autant la probabilité pour un nouveau produit d’être accepté sur le marché est grande,  autant sa probabilité pour être rejeté est tout aussi grande. Il est difficile pour les patrons d'entreprises d'envisager la perte financière liée à l'innovation. Hors, la compétition dans le monde des affaires tels que perçue aujourd’hui,  nécessite l'intégration de la notion d'échec et de perte financière liés à l'évolution trop rapide du marché.
Satisfaire les besoins des consommateurs de nos jours requiert,  la création de centre de recherche au sein des entreprises dans lesquelles,  les comportements de ces derniers sont analysés, décryptés puis transformés en produits ou services correspondants à leurs besoins actuels ou futurs. Voilà pourquoi, il est fondamental pour une entreprise digne de ce nom de mettre un accent fort sur la relation client. C'est bien là que tout commence. Il faut être à l'écoute du consommateur. Il faut pouvoir récolter l'information et la transmettre au centre d'analyse/de recherche qui va la triée et retenir les éléments importants. C'est au travers de ces éléments que l'entreprise réussira à créer des tendances donc, à se maintenir au top du marché.

-Frédéric Betta-Akwa    

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

THE MIDDLE CLASSES IN AFRICA.

The latest high growth rates recorded by the continent these15 years, gave birth to a new class called individual : the middle class. This would be typical of those earning between 2 and 20 dollars per day and is expected to increase from 355 million people (34% of the population) to 1.1 billion (42% of the population) by 2060 . However, much of the African middle class ( around 180 million people) flirt the poverty line. .Because , Who have not yet acquired the necessary financial stability , allowing him to get out of poverty permanently ( between 2 and 4 dollars per day gain).   This fringe of the African population would have a major role to play in the respective economies continent.Its consumer spending reached an estimated $ 680 billion in 2008. T o say , almost a quarter of the GDP of Africa.   By 2030, this figure is expected to reach 2.200 billion dollars , Africa would represent about 3% of world consump

LES CLASSES MOYENNES EN AFRIQUE.

Les forts taux de croissance enregistrés  par le continent africain ces15 dernières années, ont donné naissance à une nouvelle catégorie d'individu dénommée: la classe moyenne.Celle-ci, serait caractérisée par des personnes gagnant entre 2 et 20 Dollars par jour et devrait passer de 355 millions de personne (34% de la population) à 1,1 milliard (42% de la population) d'ici à 2060. Cependant, une grande partie de la classe moyenne africaine (autour de 180.000.000 de personnes) fleurte  avec le seuil de pauvreté.Car, n'ayant pas encore acquis la stabilité financière nécessaire, lui permettant de sortir  définitivement de la pauvreté (entre 2 et 4 Dollars par jour de gain). Cette frange, de la population africaine aurait un rôle majeur  à jouer dans les économies respectives du continent.Ses dépenses de consommation ont atteint un montant estimé à 680 milliards de Dollars en 2008.C'est à dire, quasiment le quart du PIB de l'Afrique. D'ici 2030, ce chiff

LES FREINS A LA BANCARISATION EN AFRIQUE.

L'adoption des services bancaires proposés par les institutions financières, n'est pas monnaie courante en Afrique, en témoignent les chiffres suivants:Moins de 10% des populations sur le continent,soit environ 10.000.000 de personnes sont bancarisées.Et selon les analystes, il s'agit du taux de bancarisation le plus bas au monde.C'est dans cette optique, que nous nous sommes penchés sur les causes de ce phénomène qui, constitue une véritable entrave au développement économique du continent. L'absence de volonté politique Les décideurs à travers le continent, semblent peu prompts à faciliter l'installation et l'accessibilité des banques au travers d'une législation et des dispositifs adéquats. La tradition Le poids des traditions est tel que, la confiance des populations à l'égard du système bancaire est proche du néant.L'habitude des fameuses "tontines",ces sortes d'ancêtres du microcrédit continuent d'êtr