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Articles

Affichage des articles du août, 2015

HOW TO BOOST ENTREPRENEURSHIP IN AFRICA?

Entrepreneurial culture is not very inked in African customs. But with a continent with a higher growth rate than or equal to 5% for a little over a decade, and a young population that is growing and is expected to double by 2040, not counting on a unemployment among 15-25 that is out of control ... It is imperative that our states take the necessary measures so that finally see the light, a continent more inclined towards self-employment.And therefore more able to achieve all its economic and social objectives for fifty years to come ... Through this article, we intend to outline solutions for the emergence of a continent more turned to the creation of wealth. So towards entrepreneurship. The Reform of our education systems. Most of our education systems have become obsolete in the face of ever-changing job market. And because, different economic changes which our continent has faced over the past thirty years. Our statements must rethink and put them to intern

COMMENT PROMOUVOIR L'ENTREPRENEURIAT EN AFRIQUE?

La culture entrepreneuriale n’est pas très encrée dans les mœurs africaines. Mais avec un continent qui enregistre, un taux de croissance supérieur ou égal à 5% depuis un peu plus d’une décennie, ainsi qu’une population jeune qui ne cesse de croître et qui devrait doubler d’ici à 2040,sans compter sur un taux de chômage  chez les 15-25 ans qui échappe à tout contrôle…Il est impératif, que nos états prennent les mesures nécessaires pour qu’enfin voie le jour, un continent plus porté vers l’auto-emploi.Et par conséquent, plus apte à atteindre tous ses objectifs économiques et sociaux pour les cinquante ans à venir… Au travers de cet article, nous entendons esquisser des solutions relatives à l’émergence d’un continent plus tourné vers la création de richesse. Donc, vers l’entrepreneuriat. La réforme de nos systèmes éducatifs. La plupart, de nos systèmes éducatifs sont devenues obsolètes face aux changements perpétuels du marché de l’emploi. Et à cause, des différentes m

GROWTH IN SOUTH ASIA.

In South Asia, the outlook is for 2015 and 2016 broadly stable economy and an acceleration of growth, albeit with risks concentrated on the foreheads of fiscal and structural reforms. The region is expected to record a real growth of 6% in 2015 and 6.4% in 2016, against 5.4% in 2014.This development could make South Asia the second region to experience the fastest growth in the world after the East Asia and the Pacific. Risks South Asia remains vulnerable as all regions of the developing world, the effects of tighter monetary policy in a US economy on track to redressement.And to stagnation in the weaker countries of the Euro Zone . INDIA  The Indian economy, which represents 80% of production in this region is expected to grow by 6.4% during the 2015/2016 financial year after an increase of 5.6% during the 2014/2015 financial year.This stimulus is due to "the Modi effect" appears to be a real hope for the Indian nation. Economic growth should benefit

LA CROISSANCE EN ASIE DU SUD.

En Asie du Sud,les perspectives laissent entrevoir pour l'année 2015 et 2016 une économie globalement stable et une accélération de la croissance,quoi qu'avec des risques concentrés sur le front des réformes budgétaires et structurelles. La région devrait enregistrer, une croissance réelle de 6% en 2015 et 6,4% en 2016,contre 5,4% en 2014.Cette évolution, pourrait faire de l'Asie du Sud la deuxième région à connaître la croissance la plus rapide au monde après, l'Asie de l'Est et du Pacifique. Risques L'Asie du Sud, reste vulnérable comme toutes les régions du monde en développement, aux effets du resserrement de la politique monétaire d'une économie américaine en voie de redressement.Et à la stagnation, dans les pays les plus faibles de la Zone Euro. L'Inde L'économie indienne,qui représente 80% de la production de cette région,devrait croître de 6,4% au cours de l’exercice 2015/2016 après, une hausse de 5,6% durant l’exercice 20

GROWTH IN EAST ASIA AND PACIFIC.

The East Asia and Pacific region is the main engine of global growth since the start of the international financial crisis.And this trend should remain stable except turning extraordinary situation. This economic dynamism in the region is explained by stronger global growth already observed in 2014. The growth rates in East Asia projected to be between 7.1% and 7.3% or less in 2015.Despite, a slowdown from the average growth rate of 8% for 2009-2013. Chinese growth to when it should observe a slight decrease from 7.7% to 7.6% (see our previous article on the Chinese growth). Some risks could nevertheless affect these regional forecasts.For example, a slower than expected economic recovery in developed countries, higher prices for interest rates and increased volatility in commodity prices resulting from recent geopolitical tensions in Eastern Europe, remind us that Asia East remains vulnerable to the vagaries of the international situation. By cons, as we have seen with the g

LA CROISSANCE EN ASIE DE L'EST ET DU PACIFIQUE.

La région Asie de l'Est et Pacifique est le principal moteur de la croissance mondiale depuis le début de la crise financière internationale.Et cette tendance, devrait rester stable sauf retournement  de situation extraordinaire. Ce dynamisme économique dans la région s'explique, par un raffermissement de la croissance mondiale déjà observé en 2014. Les taux de croissance en Asie de l'Est devrait s'inscrire entre 7,1% et 7,3% au maximum en 2015.Malgré, un ralentissement par rapport au taux de croissance moyen de 8% pour la période 2009-2013. La croissance Chinoise quand à elle, devrait observer une légère baisse passant de 7,7% à 7,6% (cf. notre précédent article sur la croissance Chinoise). Certains risques pourraient néanmoins, affecter ces prévisions régionales.Par exemple, une reprise économique plus lente que prévue dans les pays développés, un renchérissement des taux d'intérêt et une volatilité accrue des prix des matières premières résultant des tens

INTRA-AFRICAN TRADE.

According to the World Bank, 75% of intra-African trade is provided by five countries: Ghana, Ivory Coast, Nigeria, Kenya, Zimbabwe.It is vital, for African states to remedy this situation at the earliest promptly.If the latter, to achieve their development objectives in the short, medium and long term. Barriers to intra-african trade Because of their colonial past, African states are more likely to share a business perspective, with their former colonies rather than between them. For example, the first economic partner of Cameroon is France.While, that of Nigeria is the Great Britain.While geographically, these two nations are better able to share with each other, than with any other nation or region of the world.But misconduct, appropriate infrastructure and political will, the bulk of the production of these two states (80%) is exported to Europe, China, and the USA. We can also note that, the absence of industry capable of transforming African commodities in ma

LE COMMERCE INTRA-AFRICAIN.

Selon la Banque Mondiale, 75% du commerce intra-africain est assuré par 5 pays:Ghana,Côte d'Ivoire,Nigéria,Kenya,Zimbabwe.Il est donc vital, pour les états africains de remédier à cet état de fait dans les plus brefs délais.Si ces derniers, veulent atteindre leurs objectifs de développement à court, moyen et long terme. Les entraves au commerce intra-africain. Du fait de leur passé colonial, les états africains sont plus enclins à échanger d'un point de vue commercial, avec leurs anciennes colonies qu'entre eux. Par exemple, le premier partenaire économique du Cameroun c'est la France.Tandis que, celui du Nigéria c'est la Grande Bretagne.Alors que géographiquement parlant, ces deux nations sont plus aptes à échanger l'une avec l'autre, qu'avec toute autre nation ou région du monde.Mais faute, d'infrastructure adapté et de volonté politique,l'essentiel de la production de ces deux états (80%) est exportée vers l'Europe, la Chin

THE INFRASTRUCTURE DEFICIT IN AFRICA.

According to a series of assessments of African infrastructure made in 2006 by the African Development Bank (ADB) and the Consortium for Infrastructure in Africa (ICA): In the poorest countries of Africa, fewer than one in five people has access to electricity Only 56% have access to drinking water Barely a third of rural residents living near a road Only 4% of Africa's agricultural land is irrigated Over 60% of the population lacks basic sanitation The existing infrastructure in sub-Saharan Africa are not only insufficient compared to needs, notes a detailed analysis of the World Bank entitled: Diagnostic study of national infrastructure in Africa.But their development has considerably behind that of other poor  regions.Africa has less than a quarter of kilometers of paved roads compared to other developing regions.And approximately one eighth of their electrical generating capacity per capita. The energy deficit According to the ADB, the 1.5 billion people

LE DEFICIT EN INFRASTRUCTURE EN AFRIQUE.

Selon une série d'évaluations des infrastructures africaines effectuées en 2006 par la Banque Africaine de Développement (BAD) et le consortium pour les infrastructures en Afrique (ICA): Dans les pays les plus pauvres de l'Afrique, moins d'un habitant sur cinq a accès à l'électricité 56% seulement  ont accès à de l'eau potable A peine un tiers des habitants des régions rurales vivent à proximité d'une route Seulement 4% des terres agricoles africaines sont irriguées Plus de 60% de la population ne dispose pas d'équipements sanitaires de base   Les infrastructures existantes de l'Afrique subsaharienne  sont non seulement insuffisantes par rapport a ses besoins, note une analyse détaillée de la Banque Mondiale intitulée:Etude diagnostique des infrastructures nationales en Afrique.Mais, leur développement a un retard considérable sur celui des infrastructures d'autres régions pauvres.L'Afrique a moins du quart des kilomètres de routes r

FOREIGN DIRECT INVESTMENTS (F.D.I) IN AFRICA.

According to the 2012 UNCTAD report on foreign direct investment (FDI), North Africa would have been very affected by the Arab Spring.While, the South of the Sahara would experience a "boom" none. With a flow of 42.7 billion dollars in 2011, foreign direct investment (FDI) fell for the third consecutive year on African soil after the "2012 Report on World Investment" of Nations conference United for Trade and Development (UNCTAD), published July 5, 2012. North Africa and the Maghreb Between 2010 and 2011, FDI flows to North Africa is indeed gone from 13.6 to 5.8 billion as a result of the Arab spring.Egypt and Libya have been particularly affected. The Maghreb however, is doing better.In full revolution, Tunisia has resisted maintaining its FDI inflows to 1.1 billion dollars in 2011.A figure that is finally settled at a level close to that recorded in previous years: 1.5 billion in 2010 and between 1.7 and 1.8 billion between 2007 and 2009.Algeria (2

LES INVESTISSEMENTS DIRECTS A L'ETRANGER (I.D.E) EN AFRIQUE.

Selon, le rapport 2012 de la Cnuced sur les investissements directs étrangers (I.D.E), l'Afrique du Nord aurait été très affectée par les printemps arabes.Tandis que, le Sud du Sahara connaîtrait un "boom" sans pareil. Avec un flux de 42,7 milliards de dollars en 2011, les investissements directs étrangers (I.D.E) reculent pour la troisième année consécutive sur le sol africain d'après le "rapport 2012 sur l'investissement dans le monde" de la conférence des Nations Unies pour le Commerce et le Développement (Cnuced), publié le 05 juillet 2012. L'Afrique du Nord et le Maghreb Entre 2010 et 2011, le flux d'I.D.E à destination de l'Afrique du Nord est en effet passé de 13,6 à 5,8 milliards de dollars sous l'effet des printemps arabes.L'Egypte et la Lybie ont été particulièrement touchés. Le Maghreb en revanche, s'en sort mieux.En pleine révolution, la Tunisie a résisté en maintenant son flux d'I.D.E à 1,1 millia