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Affichage des articles du 2015

AFRICA IS IT THE NEW FRONTIER FOR THE LUXURY INDUSTRY?

Asked whether Africa is the new frontier for the luxury industry, we would be tempted to say yes. Growth rates have continued to considerable flew Saharan Africa oscillating between 5% and 7% for a little over a decade.These sustained growth rate, combined with favorable economic policies boosted consumption and given birth to an African middle class.The latter is defined as the share of the population earning between $ 2 and $ 20 per day.The number of individuals related to the African middle class will increase from 355 million people (34% of the population) to 1.1 billion (42% of the population) by 2060. Nevertheless, 60% of individuals of the middle class in Africa (around 180 million people) are not far from the poverty line: they form "the floating class" composed of individuals earning between $ 2 and $ 4 per day.The latter are in a vulnerable position and may at any time of falling back into poverty if an unexpected shock occurs: in case of loss of income sou

L'AFRIQUE EST-ELLE LA NOUVELLE FRONTIERE POUR L'INDUSTRIE DU LUXE?

A la question de savoir si l'Afrique serait la nouvelle frontière pour l'industrie du luxe, nous serions tentés de répondre par l'affirmative. Les taux de croissance n'ont cessé de connaître des envolés considérables en Afrique Subsaharienne oscillant, entre 5% et 7% depuis un peu plus d'une décennie.Ces taux de croissance soutenues,  associés à des politiques économiques favorables, ont stimulé la consommation des ménages  et donnés naissance à une classe moyenne Africaine.Cette dernière, est définie comme la part de la population gagnant entre $2 et $20 par jour.Le nombre d'individus liés à la classe moyenne Africaine devrait passer de 355 millions d'individus (34% de la population) à 1,1 milliard (42% de la population) d'ici 2060. Néanmoins, 60% des individus de la classe moyennne en Afrique (autour de 180 million de personne) ne sont pas très loin du seuil de la pauvreté : ils forment "la catégorie flottante" composée d'individu

BARRIERS TO BANKING IN AFRICA.

The adoption of banking services offered by financial institutions, is not common in Africa, the following figures:less than 10% of the populations on the continent, about 10 million people are unbanked.And according to analysts, this is the lowest rate in the world banking.It is in this light that we focused on the causes of this phenomenon which constitutes a real obstacle to the economic development of the continent. The lack of political will Policy makers across the continent, few seem ready to facilitate the installation and accessibility of banks through legislation and appropriate devices. The tradition The weight of tradition is such that public confidence in the banking system is close to zero.The habit of the famous "tontine" these kinds of ancestors of microcredit continue to be, an essential part of informal savings systems. Everything is based on trust based on friendship, brotherhood or clan.What is it about?Some people create a commo

LES FREINS A LA BANCARISATION EN AFRIQUE.

L'adoption des services bancaires proposés par les institutions financières, n'est pas monnaie courante en Afrique, en témoignent les chiffres suivants:Moins de 10% des populations sur le continent,soit environ 10.000.000 de personnes sont bancarisées.Et selon les analystes, il s'agit du taux de bancarisation le plus bas au monde.C'est dans cette optique, que nous nous sommes penchés sur les causes de ce phénomène qui, constitue une véritable entrave au développement économique du continent. L'absence de volonté politique Les décideurs à travers le continent, semblent peu prompts à faciliter l'installation et l'accessibilité des banques au travers d'une législation et des dispositifs adéquats. La tradition Le poids des traditions est tel que, la confiance des populations à l'égard du système bancaire est proche du néant.L'habitude des fameuses "tontines",ces sortes d'ancêtres du microcrédit continuent d'êtr

THE REAL ESTATE BOOM IN AFRICA.

Africa's population will more than triple over the next 40 years, is the UN-HABITAT observation in its 2010 report on the State of African Cities: Governance, Inequality and land markets.Several studies and statistics on the issue, the African continent will experience indeed a very strong settlement process in the coming decades.A population growth which will inevitably be accompanied by strong urbanization of the cities has already begun elsewhere.Thus, according to the report, 400 million Africans currently live in urban areas, 40% of the population, against 3% it there's 50 and 1.2 billion in 2050, representing 60% of the population. Africa is so far the continent where urban growth is strongest.The number of city dwellers is increasing (in the order of 5% to 7% per year, a rate twice as fast as its total population).Thus, Cairo (Egypt), with 11 million inhabitants, remains the largest agglomeration.But it will be overtaken by Lagos, Nigeria's capital (12.4 million)

LE BOOM IMMOBILIER EN AFRIQUE.

La population africaine va plus que tripler au cours des 40 prochaines années, tel est le constat d'ONU-HABITAT dans son rapport 2010 sur l'Etat des Villes Africaines: Gouvernance, inégalité et marchés fonciers.Selon plusieurs études et statistiques sur la question, le continent africain connaîtra en effet un processus de peuplement très soutenu durant les prochaines décennies.Une croissance démographique qui va inévitablement s'accompagner d'une forte urbanisation des villes qui a déja commencée par ailleurs.Ainsi, selon ce rapport, 400 millions d'africains vivent actuellement en milieu urbain, soit 40% de la population, contre 3% il y'a 50 ans et 1,2 milliard en 2050, soit 60% de la population. L'Afrique est donc à ce jour, le continent où la croissance urbaine est la plus forte.Le nombre de ses citadins est en constante augmentation (de l'ordre de 5% à 7% par an, un rythme deux fois plus rapide que sa population totale).Ainsi, le Caire (Egypte), ave

THE FINANCIAL CRISIS OF 2008 OR THE DOPING OF THE US ECONOMY.

How has it started? The crisis of 2008 began with the difficulties faced by US households on low incomes, to repay the loans that had been granted to them for the purchase of their homes. These funds were intended for borrowers who did not have sufficient guarantees to benefit from preferential interest rates ( "prime rate"), but only to less preferential rates ("subprime"). The indebtedness of US households could rely on the extremely low interest rates practiced for years by the Central Bank of the United States (FED) in 2001 after the stock market crisis of values "internet".In addition, loans were rechargeable, which means that regularly, we took into account the increase in value of the property, and the borrower is allowed to réendetter the amount of the increase in the value of its assets.This has boosted the growth of the United States. Credits "subprime" were backed by a mortgage on the purchased housing, t

LA CRISE FINANCIERE DE 2008 OU LE DOPAGE DE L'ECONOMIE AMERICAINE.

Comment a t-elle démarrée? La crise de 2008 a débuté avec les difficultés rencontrées par les ménages américains à faible revenu, pour rembourser les crédits qui leur avaient été accordés pour l'achat de leur logement. Ces crédits étaient destinés à des emprunteurs qui ne présentaient pas les garanties suffisantes pour bénéficier des taux d'intérêts préférentiels (en anglais "prime rate"), mais seulement à des taux moins préférentiels ("subprimes"). L'endettement des ménages américains a pu s'appuyer sur les taux d'intérêts extrêmement bas pratiqués, pendant des années par la Banque Centrale des Etats-Unis (FED) à partir de 2001 après la crise boursière des valeurs "internet".En outre, les crédits étaient rechargeables, c'est à dire que régulièrement, on prenait en compte la hausse de la valeur du bien, et on autorisait l'emprunteur à se réendetter du  montant de la progression de la valeur de son patrimo

CHINA CRISIS.

"Statistics suggest that fast-growing economies are experiencing a significant slowdown in the sense that their growth rate decreases by at least 2 points, when their per capita income reaches about $ 17,000 in constant 2005 prices, a level China should reach around 2015 " ~Matt O'brien (Wonkblog) The origins of the stock market bubble China's unbalanced growth for years.And for a decade, it announces that it is neither sustainable nor sustainable. The Chinese nation experienced an irrational increase of 150% of his purse in less than a year.Add to this, the collapse of the housing bubble, that sees its activity back ever since 25 years by the Chinese government.The official figures speak of a 6% growth, but the country is on the brink: energy consumption fell, imports were down over 15%.Beijing may well have put 40% of its GDP to boost investment in 2008: growth was "artificialized". If we do a little background, we will see that one

LA CRISE CHINOISE.

"Les statistiques suggèrent que les économies en croissance rapide connaissent un ralentissement significatif,au sens où leur taux  de croissance diminue d'au moins  2 points,quand leur revenu par tête atteint environ 17.000 dollars en prix constants de 2005, un niveau que la Chine devrait atteindre aux alentours de 2015" ~Matt O'brien (Wonkblog) Les origines de la bulle boursière La Chine a une croissance déséquilibrée depuis des années.Et depuis une décennie,l'on annonce qu'elle n'est ni durable ni soutenable. La nation chinoise a connu une hausse irrationnelle de 150% de sa bourse en moins d'un an.A cela s'ajoute, l'effondrement de la bulle immobilière,qui voit son activité reculer comme jamais depuis 25 ans selon le gouvernement chinois. Les chiffres officielles parlent d'une croissance de 6%,mais le pays est au bord du gouffre:la consommation d'énergie recule,les importations régressent de plus de 15%.Pékin a beau

GROWTH IN THE MIDDLE-EAST AND NORTH AFRICA (MENA).

After the Arab Spring, the region of North Africa Middle East (MENA) region is recovering on railles.Qatar will grow by 6.7% in 2015, followed by Morocco and Tunisia which will record the best performance in the Maghreb (+ 4.2% and + 3.9% respectively).They will benefit from the economic recovery in Europe.By cons, their growth will exceed the regional average, which also show an increase compared to last year with + 3.2% instead of +2.6%.Morocco and Tunisia, which are supported by Gulf nations, now will also benefit during the downturn of raw materials from which they are importing.However, Rabat and Tunis have undertaken major reforms: the elimination of fuel subsidies in Morocco, in Tunisia, where the energy too, the price of gasoline and diesel were increased. Saoudi Arabia, UAE, Qatar Other states show a gross domestic product (GDP) with a well above-average growth as, Saudi Arabia with 3.8% .However, the Gulf nations are vulnerable to a drop in oil prices.However, they ha

LA CROISSANCE AU MOYEN-ORIENT ET EN AFRIQUE DU NORD (MENA).

A l'issue du printemps arabe, la région Afrique du Nord-Moyen-Orient (MENA) se remet sur les railles.Le Qatar enregistrera une croissance de 6,7% en 2015;suivie du Maroc et de la Tunisie qui enregistreront les meilleures performances dans le Maghreb (+4,2% et +3,9% respectivement).Ces derniers, bénéficieront de la reprise économique en Europe.Par contre,leurs croissances dépasseront la moyenne régionale, qui affichera elle aussi une hausse par rapport à l'an dernier avec +3,2% au lieu de +2,6%.Le Maroc et la Tunisie qui bénéficient du soutien des nations du Golfe,profiteront aussi dès maintenant du retournement des cours des matières premières  dont ils sont importateurs.Cependant, Rabat et Tunis ont entrepris des réformes majeures:élimination des subventions aux carburants au Maroc, à l'énergie en Tunisie où également,les prix de l'essence et du diesel ont été relevés. Arabie Saoudite, EAU,Qatar  D'autres états afficheront un produit intérieur brut (PIB) ave

HOW TO BOOST ENTREPRENEURSHIP IN AFRICA?

Entrepreneurial culture is not very inked in African customs. But with a continent with a higher growth rate than or equal to 5% for a little over a decade, and a young population that is growing and is expected to double by 2040, not counting on a unemployment among 15-25 that is out of control ... It is imperative that our states take the necessary measures so that finally see the light, a continent more inclined towards self-employment.And therefore more able to achieve all its economic and social objectives for fifty years to come ... Through this article, we intend to outline solutions for the emergence of a continent more turned to the creation of wealth. So towards entrepreneurship. The Reform of our education systems. Most of our education systems have become obsolete in the face of ever-changing job market. And because, different economic changes which our continent has faced over the past thirty years. Our statements must rethink and put them to intern

COMMENT PROMOUVOIR L'ENTREPRENEURIAT EN AFRIQUE?

La culture entrepreneuriale n’est pas très encrée dans les mœurs africaines. Mais avec un continent qui enregistre, un taux de croissance supérieur ou égal à 5% depuis un peu plus d’une décennie, ainsi qu’une population jeune qui ne cesse de croître et qui devrait doubler d’ici à 2040,sans compter sur un taux de chômage  chez les 15-25 ans qui échappe à tout contrôle…Il est impératif, que nos états prennent les mesures nécessaires pour qu’enfin voie le jour, un continent plus porté vers l’auto-emploi.Et par conséquent, plus apte à atteindre tous ses objectifs économiques et sociaux pour les cinquante ans à venir… Au travers de cet article, nous entendons esquisser des solutions relatives à l’émergence d’un continent plus tourné vers la création de richesse. Donc, vers l’entrepreneuriat. La réforme de nos systèmes éducatifs. La plupart, de nos systèmes éducatifs sont devenues obsolètes face aux changements perpétuels du marché de l’emploi. Et à cause, des différentes m

GROWTH IN SOUTH ASIA.

In South Asia, the outlook is for 2015 and 2016 broadly stable economy and an acceleration of growth, albeit with risks concentrated on the foreheads of fiscal and structural reforms. The region is expected to record a real growth of 6% in 2015 and 6.4% in 2016, against 5.4% in 2014.This development could make South Asia the second region to experience the fastest growth in the world after the East Asia and the Pacific. Risks South Asia remains vulnerable as all regions of the developing world, the effects of tighter monetary policy in a US economy on track to redressement.And to stagnation in the weaker countries of the Euro Zone . INDIA  The Indian economy, which represents 80% of production in this region is expected to grow by 6.4% during the 2015/2016 financial year after an increase of 5.6% during the 2014/2015 financial year.This stimulus is due to "the Modi effect" appears to be a real hope for the Indian nation. Economic growth should benefit

LA CROISSANCE EN ASIE DU SUD.

En Asie du Sud,les perspectives laissent entrevoir pour l'année 2015 et 2016 une économie globalement stable et une accélération de la croissance,quoi qu'avec des risques concentrés sur le front des réformes budgétaires et structurelles. La région devrait enregistrer, une croissance réelle de 6% en 2015 et 6,4% en 2016,contre 5,4% en 2014.Cette évolution, pourrait faire de l'Asie du Sud la deuxième région à connaître la croissance la plus rapide au monde après, l'Asie de l'Est et du Pacifique. Risques L'Asie du Sud, reste vulnérable comme toutes les régions du monde en développement, aux effets du resserrement de la politique monétaire d'une économie américaine en voie de redressement.Et à la stagnation, dans les pays les plus faibles de la Zone Euro. L'Inde L'économie indienne,qui représente 80% de la production de cette région,devrait croître de 6,4% au cours de l’exercice 2015/2016 après, une hausse de 5,6% durant l’exercice 20

GROWTH IN EAST ASIA AND PACIFIC.

The East Asia and Pacific region is the main engine of global growth since the start of the international financial crisis.And this trend should remain stable except turning extraordinary situation. This economic dynamism in the region is explained by stronger global growth already observed in 2014. The growth rates in East Asia projected to be between 7.1% and 7.3% or less in 2015.Despite, a slowdown from the average growth rate of 8% for 2009-2013. Chinese growth to when it should observe a slight decrease from 7.7% to 7.6% (see our previous article on the Chinese growth). Some risks could nevertheless affect these regional forecasts.For example, a slower than expected economic recovery in developed countries, higher prices for interest rates and increased volatility in commodity prices resulting from recent geopolitical tensions in Eastern Europe, remind us that Asia East remains vulnerable to the vagaries of the international situation. By cons, as we have seen with the g

LA CROISSANCE EN ASIE DE L'EST ET DU PACIFIQUE.

La région Asie de l'Est et Pacifique est le principal moteur de la croissance mondiale depuis le début de la crise financière internationale.Et cette tendance, devrait rester stable sauf retournement  de situation extraordinaire. Ce dynamisme économique dans la région s'explique, par un raffermissement de la croissance mondiale déjà observé en 2014. Les taux de croissance en Asie de l'Est devrait s'inscrire entre 7,1% et 7,3% au maximum en 2015.Malgré, un ralentissement par rapport au taux de croissance moyen de 8% pour la période 2009-2013. La croissance Chinoise quand à elle, devrait observer une légère baisse passant de 7,7% à 7,6% (cf. notre précédent article sur la croissance Chinoise). Certains risques pourraient néanmoins, affecter ces prévisions régionales.Par exemple, une reprise économique plus lente que prévue dans les pays développés, un renchérissement des taux d'intérêt et une volatilité accrue des prix des matières premières résultant des tens

INTRA-AFRICAN TRADE.

According to the World Bank, 75% of intra-African trade is provided by five countries: Ghana, Ivory Coast, Nigeria, Kenya, Zimbabwe.It is vital, for African states to remedy this situation at the earliest promptly.If the latter, to achieve their development objectives in the short, medium and long term. Barriers to intra-african trade Because of their colonial past, African states are more likely to share a business perspective, with their former colonies rather than between them. For example, the first economic partner of Cameroon is France.While, that of Nigeria is the Great Britain.While geographically, these two nations are better able to share with each other, than with any other nation or region of the world.But misconduct, appropriate infrastructure and political will, the bulk of the production of these two states (80%) is exported to Europe, China, and the USA. We can also note that, the absence of industry capable of transforming African commodities in ma

LE COMMERCE INTRA-AFRICAIN.

Selon la Banque Mondiale, 75% du commerce intra-africain est assuré par 5 pays:Ghana,Côte d'Ivoire,Nigéria,Kenya,Zimbabwe.Il est donc vital, pour les états africains de remédier à cet état de fait dans les plus brefs délais.Si ces derniers, veulent atteindre leurs objectifs de développement à court, moyen et long terme. Les entraves au commerce intra-africain. Du fait de leur passé colonial, les états africains sont plus enclins à échanger d'un point de vue commercial, avec leurs anciennes colonies qu'entre eux. Par exemple, le premier partenaire économique du Cameroun c'est la France.Tandis que, celui du Nigéria c'est la Grande Bretagne.Alors que géographiquement parlant, ces deux nations sont plus aptes à échanger l'une avec l'autre, qu'avec toute autre nation ou région du monde.Mais faute, d'infrastructure adapté et de volonté politique,l'essentiel de la production de ces deux états (80%) est exportée vers l'Europe, la Chin

THE INFRASTRUCTURE DEFICIT IN AFRICA.

According to a series of assessments of African infrastructure made in 2006 by the African Development Bank (ADB) and the Consortium for Infrastructure in Africa (ICA): In the poorest countries of Africa, fewer than one in five people has access to electricity Only 56% have access to drinking water Barely a third of rural residents living near a road Only 4% of Africa's agricultural land is irrigated Over 60% of the population lacks basic sanitation The existing infrastructure in sub-Saharan Africa are not only insufficient compared to needs, notes a detailed analysis of the World Bank entitled: Diagnostic study of national infrastructure in Africa.But their development has considerably behind that of other poor  regions.Africa has less than a quarter of kilometers of paved roads compared to other developing regions.And approximately one eighth of their electrical generating capacity per capita. The energy deficit According to the ADB, the 1.5 billion people

LE DEFICIT EN INFRASTRUCTURE EN AFRIQUE.

Selon une série d'évaluations des infrastructures africaines effectuées en 2006 par la Banque Africaine de Développement (BAD) et le consortium pour les infrastructures en Afrique (ICA): Dans les pays les plus pauvres de l'Afrique, moins d'un habitant sur cinq a accès à l'électricité 56% seulement  ont accès à de l'eau potable A peine un tiers des habitants des régions rurales vivent à proximité d'une route Seulement 4% des terres agricoles africaines sont irriguées Plus de 60% de la population ne dispose pas d'équipements sanitaires de base   Les infrastructures existantes de l'Afrique subsaharienne  sont non seulement insuffisantes par rapport a ses besoins, note une analyse détaillée de la Banque Mondiale intitulée:Etude diagnostique des infrastructures nationales en Afrique.Mais, leur développement a un retard considérable sur celui des infrastructures d'autres régions pauvres.L'Afrique a moins du quart des kilomètres de routes r